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Initialement, une tradition médicale basée sur un ensemble d'usages empiriques se transmit par voie orale. Puis, avec le développement de l'instruction, des étudiants purent étudier et suivre un apprentissage livresque dans des facultés. Devenus médecins ou apothicaires, ils purent pratiquer leur savoir sur tout le territoire. Ces deux professions initialement réunies étaient remplies par le clergé. En 1130, le concile de Clermont interdit la pratique de la médecine aux religieux.
Les médecins prétendaient avoir le monopole du traitement des maladies internes, les soins externes tels que les opérations, étaient abandonnés aux chirurgiens. Les connaissances anatomiques des médecins étaient très faibles. Le diagnostique se limitaient à l'apparence extérieure du corps. La dissection qui aurait permis de comprendre le fonctionnement de l'intérieur du corps humain était interdite par l'Église catholique.
Médecin, chirurgien et apothicaire étaient parfois appelés à exercer leur art conjointement. Saignée, lavement, cataplasme, potion constitue les principales prescriptions administrées aux patients.
Médecins


Bien que le métier de médecin apparaisse dans l'état civil de Cannes à de nombreuses reprises, l'analyse de quelques documents historiques contenus sur ce site suffit à en dresser une liste intéressante et à illustrer leur office et leur comportement dans la vie courante.
-Méro Joseph
-Méro François
Quelques outils de médecine
au XIIIe siècle

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